J’ai trompé mon PC avec une pomme…

C’est ainsi que se termina une épopée de  15 ans…

 

/La métaphore du petit chien

S’occuper d’un PC est comme s’occuper d’un petit chien. C’est chouette d’en avoir un gros, mais dès que ça tombe malade, c’est l’enfer pour tenter de le soigner.. entre les coûts obscènes du véto, le vomi ou les autres substances un peu partout… ça devient rapidement une plaie…Au début tout va bien, il se porte bien, fait tourner de jolies vidéos en HD, permets même de tester quelques petits jeux, histoire de… mais le jour où il choppe un premier virus, c’est fichu… on ne peut  plus lui faire confiance… on a beau le nettoyer, polir, défragmenter, CCleanrisé… Il ne sera plus jamais le même… Zombi-fier, trojan-tiser (j’ai une autorisation du petit Larousse)… C’est ainsi, à la suite d’un énième écran bleu, qu’une idée lumineuse vint à moi…

Une pomme déjà bien entamée ma parole…

Farfelue mais finalement pas si stupide et si j’allais voir ailleurs, il était évident que l’univers PC n’était pas fait pour moi. Suite à une terrible réflexion de plusieurs mois, j’ai fini par succomber au charme de la pomme. Il va s’en dire que ce fut peut-être, la meilleure décision que j’ai pu avoir. C’est sûr, le prix pourrait en arrêter quelques-uns, mais ne plus avoir de problèmes de drivers, d’installations récalcitrante, de plantage et si je puis me permettre, de virus… N’est-ce pas là une raison suffisante pour faire le pas,  pour entrer dans la grande famille de la pomme déjà mangé ?

Mon choix s’est porté sur le nouveau Imac Turbo 27″ Core I5, 2,8Ghz, 4 GO de Ram, HD5750 1 Go, la config qui se trouve aux portes de la version PRO tout en restant beaucoup plus « accessible » au niveau du prix. L’appareil répond au doigt et à l’oeil, possède un superbe écran, bien qu’un peu trop glossy à mon goût, ce n’est pas que je n’aime pas me voir, mais à chaque fois que l’écran passe au noir, j’ai l’impression de me retrouver devant un miroir. Un petit pixel mort a fait son apparition quelques semaines après l’achat, mais son emplacement ne vaut le coût d’un déplacement au microstor.

Le mac à une surface en alu, en posant la main dessus on se rendra compte que c’est extrêmement chaud, voir bouillant. Cela peut faire peur au départ, mais cela est totalement normal, donc pas d’affolement. Lorsque l’on installe ses programmes pour la première qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’il fallait glisser déposer dans un dossier… un temps d’adaptation est cependant nécessaire (mais heu, comment on fait pour éjecter un disque ? Haaaaaaaaaa, où est mon contrôle Z ????) mais il est heureusement très court (quelques heures tout au plus). L’effet retors de cette conversion, aucun retour en arrière possible, une fois qu’on a goûté à Snow Léopard on ne veut plus de Windows… (//FACT)

 

Look at your PC, now back to me, back to your PC, back to me…

Au niveau de l’installation vous pouvez apercevoir le fameux clavier sans fil bluetooth et la magic mouse Ô combien consommatrice de pile, gros point noir pour moi. Visible également, ma superbe Intuos 4 L qui me permet de faire semblant de dessiner pendant des heures et derrière mon PC qui se demande ce qu’il fait encore là sur mon bureau.

 

Intuos, c’est ainsi que tout commence…

Au final, cet achat est un total succès, après quatre mois d’utilisations intensives (sous maya 2011 64Bit puis avec Parallel Desktop) les rendus filent à une vitesse insoupçonné, les vidéos n’ont jamais été aussi belle, la navigation internet est nickel, juste que l’on s’y habitue un peu trop vite et que l’on a tendance à ne pas fermer les programmes (Commande Q) c’est là que l’on se rend compte que 4Go c’est bien, mais 8Go ce serait beaucoup mieux.

 

Heu.. il manque des touches sur ce clavier…. ha ? C’est comme ça ?

Sinon, pour terminer j’ai envie de faire mes excuses à microsoft…